Synthèses
chrono-typologiques par ville
Les
planches typologiques récapitulatives de chaque ville permettent de croiser
les dessins de formes et les photographies des groupes techniques (GT) pour
tous les récipients, ainsi que les définitions correspondant à
chacune des informations recherchées ; c'est le principal outil de navigation
du cédérom. Les récipients en grisé sont glaçurés
(si peinture ou présence de molette, précisé dans la définition
du récipient).
Index
des récipients
Cet
index permet de chercher un type de récipient en fonction de la forme
ou du groupe technique Il suffit de sélectionner un récipient
ou un groupe technique (listes de gauche) pour afficher les résultats
de la requête (liste de droite), puis de choisir un résultat dans
cette liste pour aller au récipient sélectionné ; cliquer
sur " index " pour effectuer une nouvelle sélection. N'est
représenté qu'un exemplaire typologique (forme/GT) différent
par ville.
Répertoire
des formes
Le
répertoire des formes s'articule autour des dessins et des définitions
de chaque forme ; il est classé de la manière suivante : par grandes
formes (fermée et ouverte) ; puis suivant une nomenclature générale
(pot ; pichet, cruche
) ; puis pour chaque forme générique
en fonction de différences morphologiques majeures comme la présence
ou l'absence de systèmes de préhension (pot 1 ; pot 2) ; enfin
en fonction de détails morphologiques mineurs comme la forme de la lèvre
(pot 2b ; pot 2c) (cf. introduction volume papier).
La discontinuité dans la numérotation des récipients vient
de l'élimination de formes plus anciennes (du haut Moyen-Âge) déjà
inventoriées dans le répertoire général en cours
d'élaboration pour toute la période médiévale, qui
- par conséquent - ne trouvent pas leur place ici.
Tessonnier
de référence
Le
tessonnier de référence comprend les photographies et les définitions
de chaque Groupe Technique générique (GT) ; il est classé
d'abord en grandes classes suivant la texture générale de la pâte,
sa couleur et la couverte qui lui est surimposée (groupes 1, 2, 3, 4...),
puis en fonction des types d'inclusions et /ou de glaçure (présence
plus ou moins importante de calcaire, de silice
) (Groupes Techniques 4a,
4b
). On tient autant compte ici de la technique de fabrication d'un potier
(ou d'un atelier) que des types d'argiles, qu'il est parfois difficile de différencier
dans un espace comme la vallée de la Loire où le profil géologique
varie peu.
Le tessonnier est construit de manière à ce que chaque groupe
- même techniquement très proche - soit isolé par ville
(début de la codification) ; puis est attribué à chacun
des groupes un code commun (seconde partie de la codification) pour pouvoir
se repérer d'une ville à l'autre (cf. introduction du volume papier).
Par exemple, un groupe de Tours ressemblant très fortement à un
groupe de Blois sera codé de la manière suivante : à Tours,
Tou. (correspondant à la ville) 11b (la codification du groupe) et à
Blois Bl. (correspondant à la ville) 11b (même codification du
groupe). Cela permet de rapprocher les groupes sans les confondre. En revanche
lorsqu'on désigne dans le texte le Groupe Technique 11b traduisant un
faciès culturel commun - autrement dit, une tradition de fabrication
commune - à notre espace d'étude, on utilise une codification
générique (GT 11b). Ne sont représentés par une
photographie dans le cédérom que les groupes génériques,
peu importe le site d'origine.
Figures
et tableaux sur cédérom
Il
s'agit des figures et des tableaux non présents dans le volume papier
et qui sont numérotés respectivement de 1 à n pour chaque
partie du texte où ils sont appelés (parties 1 et 3) (Partie 1
ou 3, CD-Tab. ou CD-Fig. 1 à n) (cf. avant-propos du volume papier).
Il peut exister plusieurs écrans par figures ou tableaux.