Vue 1. Plan général de la fouille.
Les murs présentés sur le plan étaient apparents au début de la fouille, arasés par les travaux de démantèlement du château de la fin du 18e s. et du début du 19e.
Certains de ces murs massifs présentaient une partie de leur(s) élévation(s) :
- M1, M13 angle nord-ouest de l’enceinte du 4e s.,
- M5, M6, M7, M8, M10, M14, M30 pour la résidence ;
- M19 présentait quelques assises alors que la stratification qui lui était contemporaine avait été enlevée.
Les autres murs étaient représentés par leurs fondations :
- M2, courtine sud, seul élément du château 13e s. compris dans la fouille ;
- M3, M9, M15, M17-M18, M21.
Ces maçonneries massives ont imposé le découpage du chantier fouille en 8 zones d’enregistrement en 1974-75 (n° 1 à 8 sur le plan).
Le Pavillon de Mars, construit à la fin du 18e s., entre les deux tours conservées du château du 13e s., a imposé la limite de la fouille à l’est.
En 1976, les substructions des murs M19 au nord, M3 et M9 au sud furent enlevées mécaniquement ;
la zone 1 fut alors étendue pour inclure l’emprise des murs et celle de la zone 3 qui fut supprimée.
Vue 2. Le château et ses environs vus depuis la Loire.
Au premier plan, la Loire et les quais ;
au second plan, de gauche à droite : le Logis des Gouverneurs en cours de restauration,
la « Tour de Guise », donjon du château, auquel le « Pavillon de Mars » a été accolé à la fin du 18e s.
après destruction de l’essentiel du château médiéval ;
à l’arrière-plan, la cathédrale Saint-Gatien.
Vue du nord. 1975.
Vue 3. L’angle nord-ouest de la Cité mis au jour par la fouille et par l’aménagement du site.
Les murs nord (M13) et ouest (M1) de l’enceinte urbaine du 4e s.,
avec les tours nord-ouest et sud-ouest du château du 13e s. ;
dans la fouille, la résidence du comte d’Anjou (11e s.),
à gauche le Pavillon de Mars ;
au second plan, un bâtiment de la caserne Meunier ;
à l’arrière-plan, la cathédrale Saint-Gatien.
La fouille a été cantonnée à l’intérieur des murs de la Cité.
Le dégagement de la face extérieure de M13 résulte du dégagement des remblais du 19e s. à l’occasion de l’aménagement du site.
Vue du nord. 1977.
Vue 4. Le château et ses environs vus depuis la cathédrale.
Vus du sud, depuis la tour nord de la cathédrale Saint-Gatien :
à gauche, la rue Lavoisier, établie sur les fossés comblés du château ;
à droite, de bas en haut, la tour sud-est du château médiéval « Tour du cachot » ;
le Pavillon de Mars ;
la Tour de Guise en cours de restauration ;
au centre, l’emprise de la fouille avant son extension maximale par la destruction des préfabriqués ;
La zone 5 délimitée par M14 et M30 ;
La zone 8 n’est pas ouverte.
A l’arrière-plan, la Loire et le « pont de fil », passerelle située quelques mètres à l’ouest du pont
édifié par Eudes, comte de Blois, entre 1034 et 1037 face à l’angle nord-ouest de la Cité.
Vue du sud. 1975.
Vue 5. Aux abords du chantier de fouille, la Tour de Guise.
La tour nord-est du château du 13e s., Tour de Guise, surélevée au 15e s., après restauration ;
A gauche le Pavillon de Mars.
Vue de l’est. 1977.
Vue 6. En limite du chantier de fouille, la tour de l’angle nord-ouest du château.
Vue partielle de l’élévation de la tour nord-ouest du château du 13e s. (cf. vue 3)
Vue du nord-est. 1977.
Vue 7. Aux abords du chantier de fouille, la Tour du Cachot.
La tour sud-est du château du 13e s., dite du Cachot, à laquelle a été accolé le Pavillon de Mars.
Elle se trouvait en dehors de la fouille où la courtine sud, dont l’arrachement est visible sur l’élévation de la tour,
ne présentait que ses fondations (cf. vues 7 et 13).
Vue du sud-ouest. 1975.
Vue 8. En limite du chantier de fouille, la tour sud-ouest du château et la courtine sud.
La tour sud-ouest et les fondations de la courtine sud du château du 13e s. en limite du chantier, au sud.
Vue du sud. 1975
Vue 9. La préparation de la fouille en 1974.
Perplexité à propos de l’épaisseur des remblais récents à faire enlever mécaniquement.
Ici, la pelle mécanique est dotée d’un godet à dents.
L’expérience montra qu’il fallait utiliser des godets lisses moins perturbateurs du sol.
Au second plan, la localisation future de la fouille ;
à l’arrière-plan, en cours de restauration, le Pavillon de Mars d’où furent prises de nombreuses photographies de la fouille.
Vue du sud-ouest. 1974.
Vue 10. La préparation de la fouille en 1974 (zone 4).
Enlèvement des remblais consécutifs à l’arasement du château au 19e s. et à celui de la caserne au 20e s.
Ici dans la tour d’angle de la résidence du 11e s. (zone 4).
Vue de l’est depuis le Pavillon de Mars. 1974.
Vue 11. Les zones ouvertes au début de la fouille en 1974.
A droite, la rue Lavoisier et les bâtiments préfabriqués mis à disposition par la Ville et servant de locaux à l’équipe du LAUT.
La surface ouverte dans la partie sud :
au premier plan, à gauche, la tour d’angle de la résidence du 11e siècle (zone 4) ;
au-dessus, de gauche à droite, les zones 2 et 1.
Le chemin de planches est posé sur les fondations d’un mur M3 qui séparait la zone 2 (à gauche) de la zone 1 ;
ces fondations furent extraites mécaniquement en 1976.
Le préfabriqué est localisé au-dessus du mur d’enceinte du 4e s (M1).
Le dégagement mécanique des terres a été arrêté à l’arase des murs subsistants, ce qui correspond au niveau du sol après la destruction du château au milieu du 19e s. et à celle d’une partie de la caserne au 20e s.
Vue du nord-est depuis l’échafaudage accolé à la façade du Pavillon de Mars en cours de restauration.
1975.
Vue 12. Le début de la fouille dans la zone 4 en 1974.
Après l’enlèvement mécanique des remblais dans la tour d’angle de la résidence du 11e s. (zone 4).
Vue de l’est depuis le Pavillon de Mars. 1974.
Vue 13. La fouille dans les zones 1, 2 et 3 en 1974.
Au premier plan, la zone 2 séparée de la zone 2 par les fondations du mur M3.
En haut, la zone 1 est séparée de la zone 3 (à droite) par les fondations de M9 accolé à la grande salle du 11e s pour créer un escalier.
Les fondations des deux murs M3 et M9 sont liées à la tour d’angle du 11e siècle qui apparaît en bas à droite de la photographie.
Ces fondations ont été enlevées mécaniquement en 1976 pour permettre la poursuite de la fouille et la jonction des zones 1, 2 et 3.
La tranchée de fondation de M9, très profonde, a laissé son empreinte dans toute la stratification antérieure,
supprimant par exemple la limite sud de la tranchée de fondation de M10, mur sud de la grande salle de la résidence (cf. vue 30).
La limite sud de la fouille (à gauche) est matérialisée par le mur M2, fondations de la courtine du château du 13e s. implantées dans le fossé du 11e s.
Sont visibles dans la fouille, le Bâtiment 6 (Période 2g) au premier plan et la Structure 1 (Période 2f) au second plan.
A gauche le fossé de la résidence du 11e s. (Période 3a) utilisé comme fondation de la courtine sud du château au 13e s. (Période 3c).
Vue verticale de l’est depuis le Pavillon de Mars. 1974.
Vue 14. La première extension de la fouille vers le nord en 1975, l’ouverture des zones 5, 6 et 7.
La mise au jour des murs de toutes époques arasés à la fin du 18e s.
- A droite le mur nord (M13) de l’enceinte urbaine du 4e siècle avec la poterne.
Dans la fouille, les maçonneries de toutes époques après leur arasement de la fin du 18e siècle :
- le mur est de la grande salle de la résidence (M14) doublé par un mur parallèle inachevé (M19) ;
- la zone 5 est limitée à l’ouest par les fondations d’un mur de la caserne du 19e s. à peu près superposé à M30 mais oblique en orientation et limitant la zone 5 au nord ;
- la zone 8 n’est pas encore ouverte.
Au premier plan, les fondations de bâtiments modernes implantés dans l’enceinte du château :
- à droite la zone 7 séparée par M18 de la zone 6
Vue verticale de l’est depuis le Pavillon de Mars. 1975.
Vue 15. Le début de la fouille dans les zones 6 et 7.
Implantation du carroyage :
au premier plan, la zone 6 ;
à gauche le mur M19 ;
à l’arrière-plan, les murs M21, M18 et la zone 7
Tout en haut, le mur de l’enceinte du 4e s., M13 et la poterne.
Vue du sud. 1975.
Vue 16. La cour du château, entre résidence et poterne.
En zone 6, la faible épaisseur des couches médiévales laissées en place à la suite des déblaiements répétés destinés à conserver l’accès à la poterne et à la Loire ;
A gauche, M19 ; en haut, M21 et M15.
Vue du sud. 1975.
Vue 17. La fouille en 1975-76, les zones 1 à 7.
à droite le Pavillon de Mars restauré ;
les zones 1 à 7 sont ouvertes ;
en partie seulement pour le nord de la zone 5 ;
la zone 8 ne l’est pas, sous le tas de remblai.
A gauche les préfabriqués, anciennes salles de classe de l’après-guerre.
Vue du sud. 1975.
Vue 18. La densité des maçonneries médiévales et modernes dans les zones 6 et 7, obstacle à la poursuite de la fouille.
La poursuite de la fouille nécessita la suppression des fondations des bâtiments modernes accolés à la résidence du 11e s.
à gauche, sous le chemin de planches, le mur M19 ;
à droite les fondations des murs M15, M21, M18 et M17 ;
au fond le mur M13 et la poterne du 4e s. avec un escalier d’accès à la cave située sous la pièce au rdc de la chapelle d’étage.
Au Moyen Age, la poterne est localisée en sous-sol de la chapelle du château, à la suite de l’élévation progressive du niveau du sol.
Sont visibles, en cours de fouille, les couches consécutives à la construction de la résidence : dans les banquettes, en coupe, les couches de remblai et de travail,
à gauche le muret de soutènement au bord de la tranchée de fondation de M14, lui-même situé à gauche de M19 qui porte de chemin de planches (cf. vue 24).
Vue du sud. 1976.
Vue 19. La seconde extension de la fouille en 1976.
La destruction des préfabriqués le long de la rue Lavoisier, destinée à permettre la seconde extension de la fouille et l’ouverture de la zone 8.
Vue du sud-est. 1976.
Vue 20. L’emprise totale de la fouille après destruction des préfabriqués.
Les limites ouest et nord sont matérialisées par les murs de l’enceinte urbaine de la Cité du 4e s.
Les nombreuses maçonneries intérieures appartiennent toutes à l’occupation médiévale et moderne du site :
- à la résidence du comte d’Anjou
- au château du 13e siècle
- aux fondations de bâtiments postérieurs accolés à la résidence
Vue du sud. 1976.
Vue 21. La conservation de la stratification contemporaine de la résidence dans la zone 6.
La forte densité des vestiges maçonnés médiévaux et modernes dans la partie centrale a entraîné des destructions massives.
Le mur M19, parallèle au mur est de la grande salle de la résidence du 11e s. a éradiqué les relations stratigraphiques de M14 avec les niveaux de cour. En s’ajoutant aux déblaiements répétitifs destinés à éviter l’enfouissement des bâtiments dans la cour, à la suite de l’exhaussement continu du niveau du sol, il a de plus tronqué les fosses d’implantation ou de récupération d’un escalier de bois donnant accès à la salle d’étage de la résidence par l’extérieur, structure dont l’existence, la localisation et les transformations sont, en conséquence, l’objet de spéculations.
Vue du Logis de Mars. 1976.
Vue 22. Le dégagement de la face nord de l’enceinte urbaine de la Cité du 4e s.
Face remise au jour par les travaux d’aménagement du site.
Au premier plan, l’élévation du mur nord de l’enceinte urbaine du 4e s. (M13) ;
la poterne étrécie au Moyen Age ;
partie de la tour d’angle du château du 13e s., à droite ;
à l’arrière-plan, un bâtiment de la caserne Meunier, du 19e s., la cathédrale Saint-Gatien.
La restauration du « château » est alors en voie d’achèvement et les abords en cours d’aménagement.
Vue du nord. 1977.
Vue 23. La partie nord du chantier en 1977, zones 4, 5, 6, 7 et 8.
La résidence du 11e s., après l’enlèvement des fondations des bâtiments postérieurs, notamment ici M19.
Au premier plan, le mur de l’enceinte urbaine du 4e s, (M1) et son retour (M13).
La grande salle de la résidence du 11es. et le mur de refend longitudinal (M30) ajouté au 12e s.
La tour d’angle.
En arrière-plan, le Pavillon de Mars. Vue de l’est. 1977.
Vue 24. La tranchée de fondation des murs de la grande salle de la résidence (zone 5).
Partie sud-est du rdc de la grande salle de la résidence du 11e s.
La porte à gauche dans le mur M14 marque le niveau du sol intérieur.
Les fouilleurs se trouvent très en-dessous du niveau du sol du 11e s.
A gauche, les fondations de M14 et, en cours de fouille, la tranchée de fondation du mur M14 (cf. vue 18) ; à droite, contre le mur de refend M30, les vestiges de la stratification antérieure au 11e siècle.
Au fond, la cathédrale Saint-Gatien.
Vue du nord. 1977.
Vue 25. La tour d’angle de la résidence du 11e s.
Au centre, le puits en cours de fouille.
En périphérie, la tranchée de fondation des murs.
Vue verticale de l’est. 1976.
Vue 26. Les destructions massives engendrées par la construction de la résidence.
Elles furent considérables pour les vestiges antérieurs dans les zones 4, 5 et 8 ainsi que dans le nord de la zone 1 (Cf. Vues 18, 24, 25, 31, 33) ;
Ici, à titre d’exemple, les fondations du mur ouest (M1) de l’enceinte urbaine du 4e s. transformée en carrière de pierre ;
les tranchées de récupération des blocs ont fait disparaître la quasi-totalité de la stratification antérieure ;
puis la construction de M30 (à droite) paracheva l’œuvre d’éradication.
Vue du nord. 1978.
Vue 27. Caractéristiques de la Période 2 : une stratification perturbée.
L’occupation des lieux en Période 2 est marquée par une forte densité de fosses
qui sont autant de destructions des vestiges antérieurs.
De haut en bas, M24, mur sud du Bâtiment 5 et fosses postérieures.
Vue de détail, zones 1 et 2. Vue de l’ouest. 1977.
Vue 28. Caractéristiques de la Période 2 : la nature du sol.
Aux destructions engendrées par l’occupation s’ajoutent les effets de l’usage de matériaux organiques
dont la décomposition engendre la formation de terres noires et des tassements différentiels du sol.
Au centre, les assises du mur sud du Bâtiment 5 (M24) sont déformées selon que le mur repose sur le sol ou sur un mur antérieur.
Vue 29. Caractéristiques de la Période 2 : terre et bois contre pierre.
La fragilité des vestiges de la Période 2 comparée à la massivité des vestiges maçonnés des Périodes 1 et 3, ou ténuité contre robustesse ;
Le bâtiment 6, construction en bois, dans la zone 2.
A gauche, les fondations de M3, en haut, la tour d’angle de la résidence du 11e s.
Vue du sud. 1974.
Vue 30. Caractéristiques de la Période 2 : terre contre terre.
La fragilité des vestiges de la Période 2 :
Le Bâtiment 4, aux murs de terre, dans la zone 6 ;
exemple d’architecture de « terre » en cours de transformation en « terres noires » sous l’effet de l’activité biologique, après récupération d’une grande partie des moellons.
Vue de l’ouest. 1976. JC.
Vue 31. La fouille dans les zones 1 et 2 en août 1977.
Les fondations des murs M3 et M19 ont été enlevées.
En haut de la vue, l’enceinte du 4e s. et la tour sud-ouest du château du 13e s.
A gauche, la fouille du comblement du fossé de la résidence du 11e s. dans laquelle fut implantée la fondation de la courtine sud du château au 13e s. (M2).
A droite, les murs de la résidence du 11e s. et leur tranchée de fondation.
Au centre, en cours de fouille, le Bâtiment 5 et divers éléments de la Période 2 ;
sous la grille de relevé de plan, les premiers éléments de l’aile sud des thermes, Etat 2.
A droite, les destructions engendrées par les fondations de M3 et par la tranchée de fondation de M9, mur sud de la grande salle de la résidence du 11e s.
Vue de l’est. 1977.
Vue 32. Caractéristiques de la Période 2 : la faiblesse et la dispersion des vestiges.
Le Bâtiment 2 dans la zone 6.
Quelques décimètres du mur (M35) dans l’angle inférieur gauche de la photo
et des lambeaux de sol associés (traces blanches y compris sur l’arase de M36) après la destruction de l’aile est des thermes antiques (M36 au centre, Etat 2).
La quasi-totalité de ce bâtiment a été détruite par des creusements postérieurs.
Vue verticale du sud. 1976. RLK.
Vue 33. Le caractère massif du mur de l’enceinte urbaine du 4e s.
Les fondations sont constituées de l’entassement et de l’assemblage méticuleux de blocs de grand appareil provenant du démontage de monuments publics.
Seul le tronçon central des fondations débordantes est conservé dans son état initial.
A gauche des fosses l’ont entamé, à droite, les blocs ont été récupérés lors de la construction de la résidence du 11e s.
Vue de l’est.1978.
Vue 34. Les fondations observables du mur M1 de l’enceinte du 4e s.
Sont visibles la base des murs du 1er praefurnium (Thermes Etat2) et l’abside de la Période 1b des Thermes Etat 1.
La fouille porte sur l’unique tronçon préservé où la stratification permettait d’étudier l’implantation du mur d’enceinte M1 (cf. vues 34 et 35).
Fosses et récupération ont fait disparaître la quasi-totalité des fondations débordantes et des relations stratigraphiques.
Vue de l’est. 1978.
Vue 35. L’ajustement des fondations de l’enceinte urbaine du 4e s.
Zone 1. La fondation du mur de l’enceinte urbaine du 4e s. coupant les bâtiments de l’aile sud des thermes ;
Au premier plan un élément du portique des thermes(Etat 1) auquel les blocs de remploi sont accolés avec précision ;
A l’arrière-plan, un mur (M46) d’une salle chauffée (Etat 1) supprimée par les travaux.
Vue du nord. 1978.
Vue 36. Les thermes réaménagés après la construction de l’enceinte urbaine au 4e s.
Thermes Etat 2, 2e praefurnium. Vue du nord-est depuis le Pavillon de Mars. 1978.
Au-dessus du praefurnium, l’unique tronçon de stratification conservé où établir les relations entre enceinte et occupations adjacentes.
Vue de l’est. 1978.
Vue 37. Fin du chantier au nord.
Début du comblement de la fouille et de l’aménagement des lieux
commençant par le nord du chantier, à l’automne 1978.
Vue 38. Fin du chantier au sud.
Dernières observations durant l’hiver 1978-79.
Vue de l’est.
Vue 39. L’aménagement du site en 1979.
Vue du nord.
Vue 40. Le site aujourd'hui.
Dans les reliefs des comblements, un œil averti distingue la grande salle et la tour d'angle de la résidence du 11e siècle de même que l'enceinte urbaine du 4e siècle.
Vue du sud-est, depuis le Pavillon de Mars, 2013.